Habitués à son stade classe de la Kamalondo, de Kinshasa et Mbuji-Mayi (new look) ou encore à d’autres stades modernes du monde, les corbeaux du TPM sont entrain de découvrir les stades catastrophiques.
Ces derniers seule la présence de fois des perches les identifient comme terrains de football.
La plupart d’entre eux sont tracés à la chaux et même plus de deux fois lors d’un match si la pluie s’invitait, la Chaux ayant cédé.
Cas du stade les Volcans de Goma, la Concorde de Bukavu, des Jeunes de Kananga ou Amani de Bunia.
D’autres stades manquent de dispositifs de sécurité. L’aire de jeu est à la portée du public.
Les stades précités ne font pas exception à cette situation.
Le stade Amani en est un exemple visible.
Ce mercredi 25 avril le TP Mazembe l’a découvert lors de son déplacement à Bunia.
D’abord le manque de vestiaires ou des vestiaires montés ( des tentes à moitié ouvertes au public) et des petits bans en U inversé, puis d’installations sanitaires quasiment inexistants…puis un terrain avec relief autant de points à épingler .
Tout simplement une première peut être pour certains joueurs nationaux ou étrangers du club de Moïse Katumbi Chapwe qui sont porteurs du témoignage du football congolais dans leurs pays respectifs.
Les joueurs de deux clubs ont dû s’asseoir à même le sable jaune du stade Amani de part et d’autre à la mi-temps entourés des supporteurs comme à l’époque précoloniale.
D’où difficultés pour les coaches de travailler aisément, les joueurs de mieux saisir les consignes données par dessus le danger d’exposition des équipes aux supporteurs incontrôlés sans prévenir un quelconque abris.
Si le public de Bunia est mieux réputé en matière de fair-play, continuer sur ce rythme n’exclut pas un permanent danger à prévenir.
FootRDC
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