Rien ne semble offrir un vent de répits à cette agitation qui sévit chez les renais. Le club orange de Kinshasa chavire dans une tourmente qui ne dit pas son nom. Le changement du staff technique, les divisions au sein du comité sportif, les réclamations des indemnités et arriérés de salaires, crise de résultat, c’est ainsi que se conjugue au quotidien la vie dans cette famille.
« La recherche des résultats probants »
Depuis le début de cette saison sportive en Vodacom Ligue 1, le Club Fibo est loin de s’offrir son statut. S’ils nous ont fait rêver depuis quatre ans, les Renais sont plus que décevant sur le terrain ou ils sont à la recherche de leurs premières victoires.
Le club orange ne résiste plus à aucun orage. Face au séisme de tout genre, Renaissance se révèle être un géant aux pieds écarlates. Le club Fibo ne s’apparente qu’à un renard apprivoisé, impuissant de montrer sa férocité même quand on joue à souhait avec sa queue.
« Une relation des causes à effet »
Les évènements se sont succédés comme dans une série chronologique. L’instabilité du club a impacté la prestation du club. L’acte 1 a constitué à un départ massif des cadres du club désabusés par une gestion orthodoxe d’un comité loin d’être en parfaite communion. L’acte 2 a touché le comité du club.
Le départ du président, son retour, la médiation de la Fédé pour chuter par l’acte 3, le départ de Chico Mukeba. Tous ces trois actes réunis ont amené ce club dans la profondeur du classement partiel du championnat national.
A ce stade de la compétition, les Renais ne font plus de poids dans la balance.
Bon dernier au classement, le club joue probablement la carte du maintien dans un championnat où les corbeaux de Mazembe dominent le débat après 9 journées.
footrdc.com
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